Di seguito riporto alcune definizioni di intelligenza collettiva.
Ed ora riporto un brano di un articolo sulla intelligenza collettiva degli insetti
«L'intelligenza collettiva, così come descritta da Tom Atlee, Douglas Engelbart, Cliff Joslyn, Ron Dembo ed altri teorici, è un modo di funzionare dell'intelligenza che supera tanto il "pensiero di gruppo" (ovvero il conformismo) quanto la cognizione individuale, permettendo a una comunità di cooperare in un compito mantenendo prestazioni intellettuali affidabili. In questo senso, essa è un metodo molto robusto di formazione del consenso e potrebbe essere considerata come una branca della sociologia.»http://it.wikipedia.org/wiki/Intelligenza_collettiva
«Collective Intelligence means many things to many people. Here, it refers to the capacity of human communities to evolve towards higher order complexity and integration through collaboration and innovation.»
http://www.community-intelligence.com/blogs/public/
Ed ora riporto un brano di un articolo sulla intelligenza collettiva degli insetti
Individuellement, les insectes sont bêtes collectivement, ils sont intelligents...
Jean-Louis Deneubourg, chimiste et biologiste, professeur à l’Université Libre de Bruxelles, dirige une équipe de recherche sur les phénomènes collectifs des sociétés animales et des systèmes artificiels. Auteur de très nombreux articles scientifiques, il a édité également, avec Jacques Pasteels, From individual to collective behaviour (Bâle, Birkhauser, 1987).
Les fourmis et autres insectes sociaux occupent une place de choix dans notre imaginaire. La complexité de leurs comportements et de leurs réalisations nous fascinent. Et l'analogie que nous croyons relever entre leurs activités et les nôtres (ces insectes chassent "comme nous", se défendent "comme nous", élèvent d'autres espèces animales "comme nous") nous fait interpréter de manière anthropomorphique le fonctionnement de leurs sociétés, et parfois même attribuer une valeur morale à leurs comportements.
C’est ainsi que nous parlons de la société des fourmis comme s’il s’agissait d’une société humaine hiérarchisée, où un individu, qui aurait accès à un maximum d'informations, distribuerait ses ordres à ses congénères. Cette analogie exprime l'idée répandue, mais fausse, que la complexité des réalisations d'une société ne peut trouver son origine que dans la complexité des individus qui la composent. La réalité est tout autre. Prenons l’exemple des structures (nids, pièges, réseaux de communication) produites par différentes espèces animales. Elles prouveraient, dit-on, l’existence d’une "intelligence animale". Or, la recherche montre qu’il n’y a pas de corrélation entre la complexité des structures produites et les capacités cérébrales de l’espèce considérée. C’est ainsi qu'à une exception près, les primates, comme beaucoup d’autres mammifères, sont de piètres constructeurs. Alors que les arthropodes (crustacés, insectes, arachnides), animaux aux capacités psychiques pourtant limitées, produisent des structures extrêmement impressionnantes par leur taille, leur diversité, leur régularité ou encore leur autonomie. Le summum étant atteint par les structures construites par les insectes sociaux: abeilles, fourmis, guêpes, termites et autres araignées sociales.
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